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La digitalisation a profondément transformé la pratique comptable au sein des entreprises. Elle impose d’adopter un autre état d’esprit au vu d’une intégration croissante des systèmes informatiques, d’exigences accrues en termes de transparence et de rapidité de traitement des données.

Créé il y a six ans, le cabinet d’experts-comptables Lieutenant Guillaume entend offrir aux TPE et startups des services équivalents à ceux d’un Chief Financial Officer en interne. Comme d’autres membres de son équipe, Olivier Guillaume, son fondateur, se prévaut d’une expérience personnelle précédente d’entrepreneur : « Nous sommes issus du même côté que ces personnes qui créent leur boîte et nous connaissons donc les défis qui en découlent. Cela nous permet de traduire dans un langage parfaitement accessible à nos clients des matières comptables souvent complexes. »

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Au rayon de la complexité, la digitalisation a également pris de l’ampleur. Elle mène à une interconnexion de plus en plus étroite des différents systèmes IT déployés au sein des entreprises, voire d’organisations partenaires. Elle impose aussi de travailler de manière accrue dans l’immédiateté, là où les spécialistes de la comptabilité avaient l’habitude, il y a quelques années encore, de calquer leur mode de fonctionnement sur le calendrier des obligations légales. « Les sociétés qui font appel à nous ne se contentent plus, comme par le passé, d’attendre une déclaration TVA pendant trois mois ou une déclaration fiscale pendant neuf mois », note Olivier Guillaume.

Quand vous avez des mois de retard en termes de vue sur vos données, vous n’appuyez plus vos décisions sur des chiffres mais sur des émotions.

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Au rayon de la complexité, la digitalisation a également pris de l’ampleur. Elle mène à une interconnexion de plus en plus étroite des différents systèmes IT déployés au sein des entreprises, voire d’organisations partenaires. Elle impose aussi de travailler de manière accrue dans l’immédiateté, là où les spécialistes de la comptabilité avaient l’habitude, il y a quelques années encore, de calquer leur mode de fonctionnement sur le calendrier des obligations légales. « Les sociétés qui font appel à nous ne se contentent plus, comme par le passé, d’attendre une déclaration TVA pendant trois mois ou une déclaration fiscale pendant neuf mois », note Olivier Guillaume.

Obligation de résultat

Olivier Guillaume insiste sur un dernier élément : « Dans nombre d’entreprises, la comptabilité traditionnelle est considérée comme un coût administratif. Il faut toutefois être conscient que l’expert-comptable est un professionnel guidé par une obligation de résultats. Au sein d’un cabinet comme le nôtre, nous sommes orientés développement, solutions et succès. »

Et de conclure : « Au-delà du simple aspect comptable, il y a également une dimension de pluridisciplinarité. Prenons par exemple l’obligation juridique d’indiquer explicitement le délai de paiement des factures : si l’un de nos clients octroie un délai de soixante jours à ses clients, alors que ses fournisseurs n’en accordent que trente, cela impactera sa trésorerie. Il risque dès lors de devoir solliciter un crédit auprès de sa banque ou de procéder à une levée de fonds à cause de cet écart. Notre rôle d’expert-comptable permet de relever ce genre de difficulté et d’amener une entreprise à aligner ses conditions de ventes sur celles de ses fournisseurs. »